Jonquilles enguirlandées

Premier free printable.

Profiter de ma demi-heure de pause au boulot pour découper cette petite guirlande printanière.

Je l’aurais bien utilisée pour décorer mon poste de travail. Mais nous n’avons pas l’autorisation de les personnaliser. Comme nous travaillons en deux équipes, avec des horaires décalés ( je suis sur l’équipe de l’après-midi ) je partage donc mon poste avec une collègue de l’équipe du matin. Elle n’a donc pas à subir mes goûts en matière de décoration 😂.

Guirlande de jonquilles en papier

Je vais donc me consoler en espérant que cette petite guirlande ira ensoleillée tout plein de lieux inconnus.

Je t’invite donc, toi qui passe par ic, à télécharger gratuitement le fichier pdf, et à l’utiliser sans modération.

Que cette journée soit douce et créative.

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38 réflexions sur “Jonquilles enguirlandées

  1. J’aime les jonquilles fleurs du soleil printanier enfantj’habitais une région où on pouvait les cueillir je pensais que c’étaient les étoiles qui les plantaient! Merci

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  2. Tandis qu’à leurs œuvres perverses
    Les hommes courent haletants,
    Mars qui rit, malgré les averses,
    Prépare en secret le printemps.

    Pour les petites pâquerettes,
    Sournoisement lorsque tout dort,
    II repasse des collerettes
    Et cisèle des boutons-d’or.

    Dans le verger et dans la vigne,
    II s’en va, furtif perruquier,
    Avec une houppe de cygne,
    Poudrer à frimas l’amandier.

    La nature au lit se repose ;
    Lui, descend au jardin désert
    Et lace les boutons de rose
    Dans leur corset de velours vert.

    Tout en composant des solfèges
    Qu’aux merles il siffle à mi-voix,
    II sème aux prés les perce-neige
    Et les violettes au bois.

    Sur le cresson de la fontaine
    Où le cerf boit, l’oreille au guet,
    De sa main cachée il égrène
    Les grelots d’argent du muguet.

    Sous l’herbe, pour que tu la cueilles,
    II met la fraise au teint vermeil,
    Et te tresse un chapeau de feuilles
    Pour te garantir du soleil.

    Puis, lorsque sa besogne est faite,
    Et que son règne va finir,
    Au seuil d’avril tournant la tête,
    II dit : « Printemps, tu peux venir ! »

    Théophile Gautier (1811-1872)

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